A nos soirées trop arrosées, aux cubis de rosé, aux refrains hurlés, aux danses endiablées, aux larmes versées, aux blagues de qualité, aux fous rires incontrôlés, aux regards de complicité, aux roulés-boulés à Emy-les-Prés, aux pelles préparées, aux planques trouvées, aux mecs insultés, aux cœurs recollés, aux personnes critiquées, aux ragots racontées, au flyer tant espéré, aux discussions enflammées, aux raclettes dévorées, aux conneries avouées, aux espionnages exagérés, aux séries commentées, aux oreilles percées, à votre solidité, à votre simplicité, merci d’exister, je vous aime pour l’éternité. Vous me manquez.
La reine de l’organisation (ou pas).
Ça va faire deux mois que je suis arrivée à Barcelone, et le moins que je puisse dire c’est que le temps file à une vitesse incroyable. Les cours ont commencé, et les semaines s’enchaînent à une vitesse impressionnante (ça donnerait presque le vertige !). Lire la suite
Passion patatas bravas.
On est à deux semaines de mon premier bilan, ça fait donc pratiquement 3 semaines que je suis arrivée. Et il s’en est passé des choses !
Let’s pretend we’re dancing in the streets of Barcelona.
Je suis arrivée à Barcelone depuis 5 jours, pour y passer ma troisième année de licence en Erasmus, et je voulais faire une sorte de journal de bord pour suivre ce qui se passe pour moi, parce que pour l’instant ça va très vite, et c’est un peu les montagnes russes. J’avais toujours voulu faire une année d’études à l’étranger, et là en début d’année j’avais fait mes demandes pour Erasmus. C’est cool, j’ai été acceptée en mars, et l’engrenage s’est lancé.
Home is where the heart is.
« Home is where the heart is », askip. Bah moi mon cœur il est resté là bas, avec tous les bons souvenirs (et les moins bons), avec les grands coups de vent qui te font manger du sable et qui te font sortir tout ton répertoire de gros mots.
Putain de vent. Eh ton père le vent là. T’as froid, tu gueules des insultes mais tu serres les lèvres sinon ça croque dans la bouche. Gommage gratuit, super.
2017 ; mon bilan.
Eh, venez, on se dit qu’un article tous les six mois c’est bien, et vous me jugez pas.
Je reviens avec mon bilan de l’année 2017, et cette année je suis dans les temps, si c’est pas trop la classe.
[TW : food, anxiété, rapport au corps, études]
« Je n’ai pas encore raté ma vie, merci. »
J’ai vu tout à l’heure à la télé que près de 117 000 étudiants n’avaient toujours pas, au second tour APB, de fac pour la rentrée. Alors après avoir râlé sur Twitter (pour changer), j’ai décidé de vous écrire ce post pour vous raconter mon parcours scolaire, mes galères d’orientation, ainsi que mes belles -et moins belles- rencontres.
30/01/2022
2016 ; mon bilan.
2016, on peut le dire, aura été une sacrée année de merde. 2015 n’avait pas été joyeuse, et 2016, ça a pas été mieux. À ce rythme-là, je commence à avoir peur pour 2017. L’année ne se finit pas franchement bien, au niveau international, et clairement, je n’ai plus la force/l’envie d’en parler. Entre Trump, Alep, et Berlin, je… Je sais pas. Je sature. Je regarde de loin, je tremble, je pleure, mais je suis incapable de réfléchir dessus et de prendre du recul.
Je reviens aujourd’hui pour faire mon bilan de 2016, d’un point de vue purement perso, et égoïste (et en retard, un peu, mais ça on ne dira rien).
Stupid Girl.
TRIGGER WARNING : Cet article va parler d’une nana qui est complètement paumée. Je ne sais pas s’il restera en ligne; mais je sais qu’il va être édité.
Je me questionne sur mon consentement, sur la contraception, et sur le droit à disposer de mon corps. Lire la suite